Encadrement des loyers : victoire du totalitarisme
La période 2012-2017, à part le court mandat de Madame Pinel, aura été marqué par le triomphe du totalitarisme et de l’interventionnisme d’Etat dont l’encadrement des loyers est l’exemple phare
La folie « Duflot » impose l’encadrement des loyers »
Il n’est nul besoin de démontrer à quel point « l’encadrement des loyers » est contre productif. C’est une telle évidence que soutenir le contraire mériterait de tomber sous la loi contre le négationisme…. L’économiste suédois et socialiste Assar Lindbeck a eu ce mot mémorable : « Le contrôle des loyers est le moyen le plus efficace de détruire une ville, avec le bombardement ».
Mais voilà, le pouvoir socialiste nous affublé pendant quelques temps d’une ministre du logement complètement dogmatique qui a réussi à détruire le peu d’économie du bâtiment et du logement qui restait en France et qui a donc instaurer dans le cadre de sa « loi-diktat » baptisée « ALUR », l’encadrement des loyers… La mesure collectiviste de Madame Duflot (vous aurez compris qu’il s’agissait d’elle…) prévoit qu’à la signature d’un nouveau bail ou lors d’un renouvellement, le loyer d’un logement ne puisse dépasser de 20% un loyer de référence fixé par arrêté préfectoral, ni lui être inférieur de 30% – un « complément » étant autorisé pour certains biens.
Après le départ de Madame Duflot, le Premier ministre, Manuel Valls, essaie d’annoncer la fin de l’abération en limitant l’encadrement des loyers à une mise en oeuvre expérimentale sur Paris et Lille (le maire de Lille, Madame Aubry, trépignant pour que sa ville « bénéficie » de la mesure). C’est ce qu’il déclare les 29 et 31 août 2014.
La tentative »Pinel » d’un retour à la raison stoppée net!
Le Conseil d’État vient d’annuler la décision du gouvernement de restreindre l’encadrement des loyers à Paris et Lille, « à titre expérimental », alors que la loi Alur prévoyait son application dans 28 agglomérations en France.
Cette décision « doit être annulée » car elle aurait dû être expressément prévue par la loi elle-même, affirme la décision consultée publiée aujourd’hui jeudi.
A l’origine, une obscure association dirigée par un aficionado de Madame Duflot…
Les magistrats ont ainsi donné raison au requérant, l’association « Bail à part, tremplin pour le logement », qui souhaitait voir annulée « pour excès de pouvoir » la décision du chef du gouvernement, de réduire le champ d’application de la loi du 24 mars 2014.
L’État devra par ailleurs payer la somme de 3.000 euros à « Bail à part », présidée par Julien Bayou, un des porte-parole du parti EELV.
« Les textes sont clairs et les magistrats de la cour suprême le confirment : le dispositif doit s’appliquer dans l’ensemble des zones tendues… c’est-à-dire 28 agglomérations représentant 1.151 communes« , a réagi jeudi la CLCV. « Reste maintenant aux élus locaux à créer un observatoire des loyers et à en demander l’agrément, formalité préalable indispensable pour appliquer la loi Alur« , a précisé l’association de consommateurs.
Reste surtout aux élus de la prochaine majorité gouvernementale à mettre fin à cette stupidité!!!